Djoar Beni Sakr, Jilfan Dhawi stallion in France

I am off to Morocco this weekend, for about a week, so these two pictures of a stallion partly of Moroccan Arabian lines are fitting.

This is Fabienne Vesco’s Djoar Beni Sakr (Jahir x Loubia bint Breek by Breek), a Jilfan Dhawi by strain, as a younger horse, and as a 16 year old stallion. Both his maternal grandparents, Breek and Rihya, came to France from Morocco with Jean Deleau, and trace to combined Egyptian, Tunisian and French lines.

The French born stallion Agres (photo below, by Sumeyr x Altise by Abel x Attique by Méat), which was a sire at the Moroccan Royal stables, and traces to a Hamdaniyah Simriyah mares imported from Syria, is well represented in his pedigree.

 

 

 

4 Replies to “Djoar Beni Sakr, Jilfan Dhawi stallion in France”

  1. His 2 sisters were the base of our breeding programm. Tahiz beni Sakr is died (2005) but her sister Akaba beni Sakr is in life.

    We have her grand sons and grand daughters with us et they are the future of this strain.

    Sorry but my english isn’t good.

  2. dès le renouveau de l’arabe,début des années 1970,les éleveurs se sont tournées très rapidement vers les souches polonaises et espagnoles dans un premier temps puis sur les égyptiens en vue du show et pour les courses,les éleveurs se sont servis des lignées maternelles de ce type en croisement avec les étalons du sud ouest pour ne pas trop tourner en rond génétiquement et amener par les mères,les tissus,le cardiaque et la trempe.
    Pour l’endurance,malgré de très bons résultats au plus haut niveau de ces souches réellement pures dans les années fin 1990,la plupart des éleveurs ont recherché un croisement plus commercial en ramenant des étalons dont les produits seraient plus froids et facilement mécanisables,pouvant changer très souvent de cavalier sans incidence sur les résultats ou actuellement ramener de la vitesse pure en espérant trouver le champion combinant toutes les qualités dans la masse des produits. C’est pour cette raison qu’Agres et beaucoup d’étalons anciens ne sont pas reconnus à leur juste valeur, tout simplement car les éleveurs de maintenant attribuent les qualités de ces chevaux de façon quasi systématique aux pères issus d’une autre souche croisée avec les descendantes d’Agres, Sumeyr, Iricho, Irmak, Ourour, …. De plus les qualités d’intelligence, d’exigence, et de tempérament, de personnalité, ne sont pas recherchées dans la course ou l’endurance, pour lesquelles un cheval doit être obéissant et soumis à l’homme, et surtout peu exigeant avec son cavalier, ou sa multitude de cavaliers.

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