A hujjah in M. Rousseau’s ‘Lettre sur les chevaux arabes’, 1813

The hujjah published by Rousseau, in 1813, in Fundgruben des Orients, vol. 3, was printed by the journal both in Arabic, and translated into French. I reproduce both versions here below. “Au nom de Dieu, clément et miséricordieux, de qui nous attendons, toute assistance et secours.” “Le prophète dit: mon peuple ne se réunira jamais pour affirmer l’erreur.” “Voici l’objet de cet écrit authentique: Nous soussignés déclarons devant le Dieu suprême, certifions et attestons, en jurant par notre sort, notre fortune et nos ceintures, que la jument baie marquée d’une étoile blanche au front, et dont un pied de l’arrière-main, et un de l’avant sont blancs, descend d’aïeux nobles, tant du côté maternel que du côté paternel, par trois filiations directes et consécutives; qu’elle est véritablement née d’une cavale seglaaouié d’Al-Cazran du Nedjed, et d’un étalon de la race de choueyman Elisebbah, et qu’elle reunit les qualités de ces jumens dont parle le Prophète, lorsqu’il dit: leurs seins sont des trésors et leurs dos des sièges d’honneur. “Appuyés du témoignage de nos predecesseurs, nous attestons, sur notre sort et notre fortune, que la jument en question est d’une origine noble et qu’elle est aussi pure que le lait; qu’elle est renommée par sa légèreté et sa…