Three imported mares at Pompadour, 1900
The photos and text below come from ‘Le haras de Pompadour’, printed in the 21 April 1900 edition of Le Sport universel illustré.

Kadidja, imported in 1892.

Malakaa, imported in 1896.

El-Zhora, imported in 1896. She was nicknamed The White Pearl with a Black Collar, due to her tattoos.
An excerpt from the article follows below, naming the importer, M. Portalès, and the dates of his buying missions. The mares from the 1892 expedition are said to be small in size, with Hamaïda, Zaaleh and Kadidja notable dams of stallions. The mares from the 1896 expedition – Malakaa, El-Zhora and Zibda – are larger. Zibda, described as powerful with good legs, nearly did not make it to France: one of the first horses that M. Portalès purchased on his second trip, he left her in El Ghor while he ventured into the desert, only to find that she had been secreted away in a stable in his absence (pp. 247f.).
Les arabes forment deux groupes: les unes venant d’Orient, les autres nées à Pompadour de parents importés.
Les orientales ont presque toutes été ramenées par M. Portalès, l’inspecteur général du 2e arrondissement. Harmonieuses dans leur ensemble, puissantes dans leurs hanches, dénotant beaucoup d’espèces, les juments de la première mission (1892) sont de petite taille. Du nombre: Hamaïda, Zaaleh, Kadidja, mères de plusieurs étalons. Plus grandes sont celles de la deuxième mission (1896): Malakaa, jument très admirée de tous ceux qui visitent Pompadour, pour sa direction d’avant-main, sa puissance par derrière et la finesse de ses tissus; El-Zhora, grise, baptisée par un éleveur de Vendée
«la Perle blanche au collier noir», à cause de ses nombreux tatouages faits par les Bédouins, est certainement une des juments les plus fashionables du haras; Zibda, poulinière très puissante, avec de beaux membres. On raconte à son sujet que M. Portalès l’ayant achetée avec quelques étalons au début de la mission et ne voulant pas se faire suivre dans le désert de tous ces animaux, les laissa sous la garde de quelques hommes dans un village dans les terres (El-Ghor). Quel ne fut pas son étonnement lorsque, revenant sur ses pas, il apprit que Zibda avait disparu. Elle fut, paraît-il, assez facile à retrouver, mais il fallut s’adresser en haut lieu et parler haut pour la faire sortir de l’écurie très confortable où on l’avait cachée.
Further information on Malakaa and El Zhora comes from the article ‘Les achats d’étalons par l’administration des haras’ by H. Vallée de Loncey, published in the 1899 Journal d’agriculture pratique. They are said to come from the Euphrates valley, and here Malakaa is described as small but an accomplished broodmare, while El Zhora is of greater importance (p. 100).
Le lot de juments, ramené des bords de l’Euphrate par M. Portalès comprend cinq bêtes d’ordre parmi lesquelles: Malakaa, qui, malgré l’exiguïté de sa taille, est une des poulinières les plus accomplies que l’on puisse voir; El Zhora, d’une importance beaucoup plus considérable pouvant justifier les nombreuses marques dont elle est parée, prouvant en quelle considération elle était dans les tribus arabes. Il est à souhaiter que l’administration des haras la fasse figurer à l’Exposition universelle de 1900, car il est impossible de rencontrer une jument plus belle et plus noble.
Vallée de Loncey also provides more details on M. Portalès’ two expeditions (p. 99), noting that he brought back 14 stallions and 6 mares from the 1892 expedition, and 10 stallions and 5 mares from the 1896 expedition. All five of the mares purchased on the second trip were sent to Pompadour, while the stallions were divided between the studs of Pompadour, Pau, Tarbes, and the depots Aurillac and Rodez.