Ah, cet inbreeding !

Une question qui doit certainement être aussi vieille que l’élevage et assurément son antienne. Sujet controversé qui a fait couler déjà beaucoup d’encre et user de salive. Il est fort probable que cette polémique reste encore longtemps en bonne place au titre des débats alambiqués. Il n’est pour s’en rendre compte de confier au commun des mortels que tel ou tel sujet (cheval ou autre) est le produit d’un accouplement en famille, puis observer : très souvent, la première réaction de notre interlocuteur est de gêne enveloppée dans un profond mutisme, après un recul, l’indignation ne se fait pas attendre et c’est le tollé… Tout ceci malgré maintes expériences, observations, études et par suite discours ou dissertations malheureusement subis et reçus comme prolixes et dérangeants. Travaux devenus stériles et retombant inertes dans le creuset du savoir en attendant d’être rebattus. L’Inbreeding nous dit-on : “désigne chez un individu une consanguinité plus forte que celle de la moyenne dans une race donnée” plutôt subjectif ! Je laisserai donc cette définition à l’appréciation de chacun. Pour traduire, il s’agit dans les origines d’un sujet donné de la présence d’un ou plusieurs ancêtres communs répétés dans les générations. A certains de rétorquer qu’après…