Ce modeste article intitulé des paroles du Sage (Robert Mauvy) fait suite à celui traitant de la consanguinité : « Ah cet embreeding », ainsi qu’en réponse au questionnement de Monsieur R.J. Cadranell. Il fallait lire : « (…) la dure vie nomade, alliée à l’environnement hostile ainsi qu’aux conditions climatiques implacables joueraient leur rôle de régulateur éliminant du même coup sujets et gènes récessifs indésirables (…) » Dans de telles conditions de survie, un sujet affligé du moindre handicap n’a que peu de chance de salut, et, par voie de conséquences, n’engendre aucune descendance. Le sujet éliminé ne peut donc être porteur ni parasiter de quelque manière que ce soit le reste du cheptel. Il est reproché très souvent à la pratique de la consanguinité d’infliger une diminution de la vitalité ainsi que de la fertilité et pousser à l’hypernervosité ; pour tout dire conduire à une dégénérescence. Nous nous trouvons donc au fait de la question : « le sursum des hérédités entre elles et la possibilité de leur faire atteindre leur maximum d’intensité » avec ce dilemme entre l’hérédité saine … ou morbide. Mais encore une fois, la race chevaline la plus aboutie qu’est le Cheval Arabe de Sang Pur nous a apporté des géniteurs dotés des plus…