Gamont on the stud of Abbas Pasha pre-1842
An excerpt by the French Gamont, who was in charge of Mehemet Ali’s stud of Choubra between 1828 and 1842. Google Translate will get you a good translation.
Haras d’abas-pacha. — Le haras d’Abas-Pacha est situé dans une plaine de sable, auprès d’Héliopolis. Ce haras est une copie de celui de Choubra. Longtemps, Abas-Pacha a tenu ses chevaux en plein air, au soleil, à la pluie, sans qu’il en résultât d’accidents. Juments et étalons du Nejd; les plus belles variétés. La direction du haras est confiée à un homme de l’Hedjaz. On n’y voit point de maladies de misère, comme morve et farcin. Beaucoup de naissances, mais moins qu’à Choubra. Les poulains sont nourris avec du lait de chamelle et des dattes; Orge concassée; luzerne; paille hachée. Admission de quelques principes mis en pratique par nous.
Appareillements comme à Choubra. Bonne tenue des écuries. Poulains en liberté. Pas d’entraves. Très beaux produits. C’est le haras le plus riche de toute l’Egypte, par la qualité très supérieure des étalons et des juments. Cet établissement renferme de cent cinquante à deux cents têtes. Abas Pacha aime extraordinairement les chevaux. De tous les enfants de Méhémet-Ali, c’est lui qui les connaît le mieux. Le prince est jaloux à l’excès et croit à l’influence du coup d’œil. Il admet très difficilement les étrangers dans son haras. Quand son père veut ou doit faire cadeau d’un cheval à un consul général, à un étranger, il prend, ou chez Abas-Pacha, ou chez Ibrahim-Pacha. L’un et l’autre ne donnent que des chevaux communs. Les produits du haras d’Abas, servent pour lui et pour ses mamelouks. Abas observe , étudie l’élève du cheval; son grand père devrait lui confier la direction générale des haras. Méhémet-Ali ne pourrait faire mieux ; cette nomination serait avantageuse au pays.
Abas-pasha stud farm. – The Abas Pasha stud farm is located in a sandy plain near Heliopolis. This stud is a copy of that of Choubra. For a long time, Abas-Pasha kept his horses in the open air, in the sun, in the rain, without causing any accidents. Nejd mares and stallions; the most beautiful varieties. The management of the stud is entrusted to a man from the Hejaz. There are no diseases of poverty, such as glanders and farcin. Lots of births, but less than in Choubra. The foals are fed with camel’s milk and dates; Crushed barley; alfalfa; chopped straw. Admission of some principles put into practice by us.
Equipment as in Choubra. Good performance of the stables. Foals in the wild. No hindrances. Very nice products. It is the richest stud in all of Egypt, for the very high quality of stallions and mares. This establishment contains from one hundred and fifty to two hundred heads. Abas Pasha is extraordinarily fond of horses. Of all of Mehemet-Ali’s children, he is the one who knows them best. The prince is overly jealous and believes in the influence of the glance. He has great difficulty admitting foreigners to his stud farm. When his father wants or has to make a gift of a horse to a consul general, to a foreigner, he takes it, either from Abas-Pasha, or from Ibrahim-Pasha. Both only give common horses. The products of the Abas stud are useful for him and for his Mamluks. Abas observes, studies the pupil of the horse; his grandfather should entrust him with the general management of the stud farms. Méhémet-Ali could not do better; this appointment would benefit the country.
Oh, neat! You’ve found a veritable treasure trove in the French sources.