Mounted Bedouins, Emir Saud’s visit to Emir Abdullah in Amman, Transjordan c. 1935
Such reads the caption on the photo below, shared by Rehan Ud Din Baber on his wonderful Facebook page. Rehan tells us the photo is from the G. Eric and Edith Matson Photograph Collection, which I will certainly look up. Also sharing Severine Vesco’s beautiful comment on that photo, in French:
C’est en regardant ces photos là qu’on comprend vite ce qu’est l’arabe… un cheval de guerre dans un des milieux les plus difficiles au monde, et dans une culture tribale
Et vu que le sport c’est quand même plus facile que la razzia ou la guerre, il devrait y exceller.
Le cheval arabe est bien plus qu’un chanfrein concave ou une queue en panache. C’est un compagnon d’arme, garant et dernier rempart de son cavalier, un roc chargé de le protéger, de l’emmener en sécurité aussi bien qu’au combat, d’aller vite mais aussi loin, d’affronter tous les obstacles, avec Noblesse… Endurance, vitesse, polyvalence, volonté, proximité à l’homme, solidité, puissance, sécheresse des tissus, charisme, noblesse, Sang
Voilà toutes les cases que doit cocher un cheval arabe pour survivre à ce mode de vie, et c’est tout ça qui l’a rendu si …. Parfait
oh, merci.
C’est tellement vrai, avec eux jusqu’au bout du monde