Le débat que Louis a enclenché est le bienvenu, il est important. Essayons de le continuer en mettant tous les griefs de coté, dans l’intérêt du cheval. Nous sommes évidemment en présence d’acceptions différentes de ce qu’est un cheval arabe aujourd’hui. Celles-ci proviennent de la manière que chaque civilisation a eu d’appréhender la relation de l’homme au cheval au fil du temps, de l’évolution du rôle du cheval dans chaque civilisation, mais aussi et surtout de perceptions par les hommes d’hommes de civilisations différentes, donc de leurs chevaux. Je demeure cependant persuadé que ces acceptions peuvent se recouper. (La suite est à venir)